Amnesty International pointe une intensification des restrictions en Guinée en 2024, marquée par la répression de manifestations, la censure des médias, des détentions arbitraires et plusieurs disparitions forcées. Le rapport note aussi un contexte économique difficile et un retard dans la transition politique, malgré une avancée judiciaire avec la condamnation de huit personnes pour le massacre du 28 septembre 2009.
Dans son dernier rapport, Amnesty International alerte sur une détérioration continue de la situation des droits humains en Guinée en 2024.